Père Michel Pagès | 8 avril 2023
« Ne demandez pas à l’espérance de calculer quel avenir, de le chiffrer ou de le définir. L’espérance n’en sait rien et elle ne veut pas le savoir. La seule chose dont l’espérance est certaine c’est qu’il y a un avenir…L’espérance ne peut qu’être fragile et incertaine sinon elle cesse d’être espérance pour n’être plus qu’un slogan ou un argument électoral »… Père Guy Gilbert
« Sans doute, il est bon de s’affliger de ses péchés, mais à condition que ce ne soit pas à tous les instants de la vie…Il faut faire alterner avec ce souvenir la mémoire plus heureuses des bontés de Dieu. Car la tristesse continuelle endurcit le cœur et risque de la jeter au mortel désespoir. Mêlons le mile à l’absinthe, afin que, tempérée de quelque douceur, la sainte amertume entre dans un breuvage qui puisse se boire. D’ailleurs, Dieu lui-même modère l’affliction d’un cœur contrit, retire l’âme abattue de l’abîme du désespoir, console les affligés en leur donnant le miel de ses douces promesses et rend courage à celui qui perd confiance »… Saint Bernard de Clairvaux
« Dans la nuit de Pâques, en certaines régions, les feux de Pâques brûlent partout dans la colline et dans la montagne. On les voit et on se dit : là aussi, des hommes et des femmes montent la garde contre la nuit et veillent, attendent l’aurore, y croient » Christiane Sing
« Participants tous au sacerdoce du Christ par l’onction, quoique selon des modes différents de nature, nos premières préoccupations doivent être notre attachement au Christ et la mission. Nombreux sont les pauvres qui attendent une libération, les personnes en deuil à consoler, les cœurs brisés à soigner, car le monde est bouleversé et en danger…Il guérira par les soins du Christ dans la mesure où les disciples du Christ s’approcheront pour répandre sur ses blessures, l’eau qui purifie et l’huile de l’onction qui sanctifie. A nous de lui apporter la Bonne Nouvelle et les sacrements qui peuvent le guérir »…
Mgr Guy de Kérimel, notre Archevêque, à la Messe Chrismale